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Le développement ne peut justifier les atteintes à l'identité et au patrimoine d'un peuple ni des dérogations officielles permettant le pillage de ses richesses
Dans cette rubrique, Lansiv Kréol exposera, de la façon la plus fidèle et exhaustive possible, l'information sur les actions entreprises par des associations pour plaider la cause de la prise en compte de l'identité et du patrimoine réunionnais ou encore dénoncer des atteintes dont ils sont l'objet

Le village de la Grande Chaloupe menacé par le chantier du tram-train

Le Collectif des habitants de la Grande-Chaloupe, et les associations culturelles et mémorielles de La Réunion réunis en Collectif de sauvegarde de la Grande Chaloupe
à
- Monsieur le Préfet de La Réunion,
- Monsieur le Directeur de la DRAC-Réunion,
-Madame le Conservateur du patrimoine, monuments historiques, inventaire, archéologie, ethnographie, architecture.
- Monsieur le Président de la Région Réunion
- Monsieur le Directeur de la SR21
- Monsieur le Représentant de l'UNESCO

Objet : Violation de la « Charte pour la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel réunionnais »
Demande de Classement ou d’Inscription
à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques

Madame, Messieurs

Le site de la Grande-Chaloupe et de la Ravine à Jacques, sont des espaces historiques. Ils datent de la fin du XVIIIème siècle et ont servi au débarquement puis au placement, dans un espace de quarantaine sanitaire, des populations esclaves, des populations migrantes et des populations engagées avant d’être dispersées dans les plantations.
Par ailleurs, ils rendent compte matériellement au moins, d’un héritage propre aux différentes phases de l’histoire Réunionnaise :
- Un 1er Lazaret destiné aux esclaves est installé et existe encore à la Ravine à Jacques.
- L’occupation anglaise du début XIXe donne son nom à un chemin du XVIIIe dit « Chemin des Anglais »,
- L’Engagisme se matérialise dans les Lazarets I et II construits entre 1860 et 1865,
- Le Chemin de fer construit fin XIXe est présent à travers les bâtiments de la gare, les locomotives, le pont et le tunnel,
- On y retrouve aussi des éléments du patrimoine religieux de l’espace réunionnais : « ti bondié », temple, « rond de servis malgas ».

De façon contemporaine, la Grande-Chaloupe abrite 3 groupes d’habitations caractéristiques de l’habitat traditionnel réunionnais. La Région Réunion reconnaît de fait le statut d’élément patrimonial remarquable matérialisé par l’opération « Coup de pinceau » (1998, nouvelle enquête 2007), visant à revaloriser l’habitat créole. L’installation des habitants dans le quartier (1950-1960) s’insère dans le contexte de la départementalisation et du passage à la « Modernité » (terme qui désigne à La Réunion la rupture progressive de l’île avec le mode de vie du XIXe siècle).

Le village, installé dans un éco-système riche, à proximité de l’océan permet de conserver un mode de vie « traditionnel » ou le quotidien est complété par une agriculture de subsistance, par la chasse ou la pêche tout en permettant de bénéficier de la plus grande partie des avantages de La Réunion du XXIe siècle. L’aménagement de la zone d’habitat est intimement lié à ce mode de vie, combinant tradition et modernité.

La pérennité de l’ensemble de ces éléments patrimoniaux est le résultat de la présence et de l’implication des populations installées et présentes sur le site. Nous attirons plus particulièrement l’attention de l’Etat sur la présence, d’un village créole sur ce site, dont la destruction imminente est liée à la procédure de déclaration d’utilité publique.
Tous ces éléments matériels, immatériels, humains d’une valeur patrimoniale, mémoriale et interculturel incontestable sont aujourd’hui gravement et directement menacés par le projet Tram-Train.
Il ne s'agit pas de remettre en cause l'intégralité du projet mais il nous paraît indispensable de réviser le tracé actuel menaçant cet héritage.

Au vu de ces éléments, le Collectif de sauvegarde de la Grande Chaloupe exige :
Une nouvelle concertation : Trois commissions formées à l’initiative de la SR21 :
« Commission Patrimoine », « Commission Faune et Flore » et « Commission Sociale » n’ont pas encore présenté publiquement le résultat de leurs enquêtes / travaux. Travaux qui ne sont pour le moment pas intégrés dans le processus décisionnel des institutions à l’oeuvre sur le site. Une nouvelle concertation est donc nécessaire.
Le Classement ou l’Inscription au tire des Monuments Historiques : Le Classement ou l’Inscription au titre des monuments historiques du site de la Grande Chaloupe et de la Ravine à Jacques dans son intégralité et ce pour remédier au classement parcellaire actuel. Pour toutes ces raisons, le collectif demande d’urgence, une réunion de la Commission Régionale du Patrimoine et des Sites afin d’instruire notre requête. Cette réunion d’urgence nous permettra d’exposer les liens existants entre les différents éléments patrimoniaux et l’aménagement du site et d’établir une véritable concertation avec l’ensemble des acteurs du patrimoine et de sa mémoire. En toute logique, cette procédure devra être instruite avant toute déclaration d’utilité publique.
Le respect de la « Charte pour la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel réunionnais » : Le 4 novembre 2006, l’Etat signait avec la Région, le Département et l’Association des Maires la « Charte pour la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel réunionnais » dans laquelle « Les signataires de la convention s’engagent à défendre la diversité culturelle dans ses relations avec la citoyenneté et la démocratie et se prononcent fermement contre l’atteinte à la diversité des cultures et à leur dynamique qui doivent échapper à la logique marchande libérale. » Ils se disaient « Conscients de l’urgence à agir dans le contexte d’une histoire où se succèdent l’esclavage, l’engagisme, le colonialisme, la départementalisation, les mutations accélérées et les pressions multiples du monde contemporain, et où des retards structurels, des constructions en urgence ont eu pour conséquence la destruction de bâtiments, de traces mémorielles, d’archives. ». Force nous est de constater que La Région et la SR21, mandaté par la Région, n’ont pas suivi l’esprit de la Charte. ................. Pour plus de détails cliquer ici

Si vous voulez aider le collectif, vous pouvez signer et faire signer

Violation de la « Charte pour la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel réunionnais » Demande de Classement ou d’Inscription à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques

Actions entreprises:

1 - pour la sauvegarde de la Grande Chaloupe

2 - pour sensibiliser les Réunionnais à leur patrimoine floristique endémique. (voir association des amis des plantes et de la nature, A.P.N.)


2 - pour la sauvegarde de la vocation traditionnelle de la Grande Anse

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RECENSEMENT DES SITES ET ELEMENTS DU PATRIMOINE MATERIEL ET IMMATERIEL DE LA GRANDE-CHALOUPE

Fêtes Nature et traditions

BATIMENT / STRUCTURE Anciennement « La fèt’tang ». Dernière édition en 2005.

BATIMENT / STRUCTURE Fête du 15 août / Fête du 11 novembre Le 15 août (fête de l’indépendance de l’Inde) et le 11 novembre (la fin des accords franco-britannique sur l’Engagisme) sont fêtés sur le site. Si le 15 août est une date avérée historiquement parlant. Cette deuxième date est présentée comme la date de fin de l’Engagisme Indien, et rassemble une partie de la communauté tamoule autour de l’association Tamij Sangam.

 

Patrimoine lié à l’histoire du transport

BATIMENT / STRUCTURE Chemin des Anglais Construit fin XVIII e s. Bien conservé dans sa partie Possession - Saint-Denis. Perd de sa visibilité dans la fin de son parcours Grande-Chaloupe - Saint-Denis.
STATUT Propriété du Département.
ETAT DE CONSERVATION Correct. La partie côté Possession a été interdite et fermée aux véhicules à moteur.
REMARQUES Entretien confié à l’association GENES.

BATIMENT / STRUCTUREGare du CFR Petit bâtiment caractérisé par sa haute toiture à débord destinée à abriter les voyageurs. La halte comprend un quai de voyageurs, une fosse à piquer avec une voie de garage et une voie d’évitement avec les leviers manuels des aiguillages. Un logement et un hangar sont greffés derrière le quai et abritent une locomotive Schneider datée de 1885 et un car « courant d’air ».
STATUT Propriété du Département. Date de protection MH: 1998/10/22. Convention de mise à disposition au profit d’une association en cours.
ETAT DE CONSERVATION Correct, bâtiment entièrement restauré.
REMARQUES Présentation d’une exposition permanente déclinant l’Histoire de l’Engagisme, l’Histoire du Chemin de Fer et la dimension « patrimoine naturel ».

BATIMENT / STRUCTURELocomotives et véhicules de tractions La locomotive à vapeur Schneider (Locomotive à vapeur n° 8 030T à voie métrique. Schneider constructeur Schneider et Cie du Creusot), 1878.) est visible actuellement devant la gare. Elle est abritée dans le tunnel côté Saint-Denis.
STATUT Propriété de l’association Ti train. Date de protection objet mobilier : 1994/05/26
ETAT DE CONSERVATION Correct, entretenu par l’association Ti’train.
BATIMENT / STRUCTUREPont du Chemin de Fer et voies ferrées Le pont a été démonté pour restauration.Le pont restauré est actuellement en dépôt sur un des terrains bitumés près de l’arboretum. Deux piliers avec maçonnerie en mauvais état.
STATUT - Propriété du Département. - Périmètre d’un site protégé.
Elèves à bord d’une des machines du CFR, conduite par l’association Ti’Train, à la découverte de l’histoire ferroviaire de l’île, dans le cadre d’une classe patrimoine.

ETAT DE CONSERVATION. Restauration en cours.
REMARQUES Les ponts de la ravine de la Grande Chaloupe et des Tamarins devraient être réparés et posés en 2008.

BATIMENT / STRUCTURETunnels Construction de la fin du XIX e s.
STATUT - Propriété du Département. - Périmètre d’un site protégé

Lazarets

BATIMENT / STRUCTURE Chauferrette Située à l’arrière de la gare. Le bâtiment aurait été lié au fonctionnement des Lazarets. Toit en voûte de brique sur structure en fer.
STATUT Propriété de la commune de Saint-Denis. Périmètre d’un site protégé.
ETAT DE CONSERVATION. Eventrement d’un angle dû à une fissure. Les pierres de tailles du chaînage de l’angle « penchent » et menacent de s’effondrer.
REMARQUES Le CHAM avait été sollicité pour une visite (préparatoire à une expertise) sur le site au démarrage du chantier Lazaret.
BATIMENT / STRUCTURE Lazaret I Composé dans sa structure première de

Bâtiment dit « La chaufferette »
deux dortoirs, une longère, un bateau-lavoir, un cimetière et de murs d’enceinte. Agrandi fin XIX e (entre 1898 et 1900) par une infirmerie et une étuve.Le bâtiment des latrines a disparu ainsi qu’une structure à l’arrière du dortoir. Un des dortoirs est affecté à la DDE et constitue une base opérationnelle pour les travaux de la route du littoral.
L’infirmerie du Lazaret I avant et après restauration.

Le bateau-lavoir actuel est une reconstruction imitant l’ancienne structure (une structure similaire existe au Lazaret II).
STATUT Propriété du Département. Droit d’usage CEL et DDE, cf. cartes p.9. (Situé côté Possession). Date de protection MH: 1998/10/22. Inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
ETAT DE CONSERVATION Le Département a entrepris en 2004 un programme pluriannuel de restauration de l’ensemble des lazarets en vue d’une valorisation historique, pédagogique et touristique :

- Fin 2004 = Mur d’enceinte cimetière
- 2005 = Mur d’enceinte Infirmerie + Taille de pierres bâtiment de l’Infirmerie
- 2006 = Bâtiment de l’Infirmerie + Calades
- 2007 = Longère + Dortoir + calades
- 2008 = Suite de 2007 + reconstitution du mur d’enceinte
BATIMENT / STRUCTURE Lazaret II Composé de 2 dortoirs et d’une annexe, d’un cimetière, d’un bateau-lavoir et d’une latrine (structure située à proximité du dortoir en allant vers le cimetière). Le cimetière a été partiellement emporté. Le mur d’enceinte est effondré à 80 % de sa structure totale.
STATUT Propriété du Département. Droit d’usage DDE, cf. cartes p.10 (Situé côté Saint-Denis).

L’emprise végétale dans un des dortoirs du Lazaret II

Date de protection MH: 1998/10/22. Inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
ETAT DE CONSERVATION. Ruines intéressantes , colonisées par la végétation qui enveloppe et protège le site. Végétation à maintenir pour l’instant.

Patrimoine religieux

BATIMENT / STRUCTURE Saint-Expédit / Notre Dame Situés 50 mètres après l’arrivée du chemin des Anglais, les deux cultes sont intimement liés dans les espaces à vocation d’oratoire. Le site est aménagé en hauteur.

STATUT Implantés sur le domaine public du Département. Périmètre d’un site protégé. (Situé côté Possession).
ETAT DE CONSERVATION Correct, entretenu par les habitants.

BATIMENT / STRUCTURE Temple Tamoul « Tamp la kour », entretenu par son propriétaire, Nargoulan et Kodi à l’extérieur.
STATUT Propriété privée. Périmètre d’un site protégé. (Situé côté Possession).
ETAT DE CONSERVATION. Correct, entretenu par son propriétaire.

BATIMENT / STRUCTURE Rond de servis Malgas Le servis est amené à La Réunion par les migrations tamoules et malgaches de l’Engagisme et rencontre localement les pratiques issues de l’Afrique.

Le Kodi (mât situé à l’extérieur du temple) et son Nargoulan sont sans doute ici l’élément le plus remarquable et le plus signifiant en termes de contact de culture dans le contexte réunionnais. Sa présence fait référence à un récit mettant en contact tamoul (Malbar) et musulman (Laskar), on retrouve ainsi au sommet du cerf-volant une étoile, une lune et une main symboles liés aux représentations religieuses musulmanes. Lors de certaines fêtes on offre un bryani (mangé zarab) au Nargoulan.
Il présente plusieurs formes (servis Malbar, servis Malgas, servis Zesclav,etc) selon les sphères religieuses auxquelles il est rattaché. Dans ces différentes variations, bon nombre ont en commun le culte des
ancêtres. La pratique du servis est intimement liée à un cadre familial, à un sol ou un lieu de mémoire et donne une dimension à très forte valeur sacrée à l’espace où il se pratique.
STATUT Implanté dans une propriété privée. (Situé côté Possession)
ETAT DE CONSERVATION Correct, entretenu par son propriétaire.
Offrandes dans le cimetière du Lazaret I : La stèle dans ce cadre marque l’espace de cérémonie et la tombe le lieu ou peut aussi se faire des offrandes.

BATIMENT / STRUCTURE Notre Dame de Fatima Située à proximité de la gare. Niche maçonnée avec statue à l’intérieur.
STATUT Implantée sur le domaine public du Département. Périmètre d’un site protégé. (Située côté Saint-Denis).
ETAT DE CONSERVATION. Correct, entretenue par les habitants.

Espaces de Mémoire, exposition, fêtes et commémorations

 

BATIMENT / STRUCTURE Stèle de l’association Tamij Sangam et banian Posée en 1997, à l’intérieur du cimetière du Lazaret I, la plantation du banian date de la même époque.
STATUT Implantée sur le domaine public du Département. Périmètre d’un site protégé
ETAT DE CONSERVATION Correct.
REMARQUES Cérémonie associative le 15 août (la dernière ayant eu lieu en 2005).

BATIMENT / STRUCTURE Stèle de commémoration CFR Posée à proximité de la gare du CFR. Inaugurée en 2007 dans le cadre du marathon Tram-Train.

La stèle de l’association Tamij Sangam et en arrière-plan le banian (avant le passage de Gamède).
STATUT Implantée sur le domaine public du Département. Périmètre d’un site protégé
ETAT DE CONSERVATION Correct.

BATIMENT / STRUCTURE « Fausses » tombes du cimetière Du cimetière du XIX eme siècle n’émergent que 3 tombes. Les autres tombes avec structure en ciment n’ont été installées que pour la nécessité de matérialiser le lieu de mémoire. et permettre le devoir de mémoire.
STATUT Implantées dans le cimetière, propriété du Département.
Périmètre d’un site protégé

ETAT DE CONSERVATION Correct. Entretien confié à l’association GENES.

BATIMENT / STRUCTURE Exposition sur l’histoire de l’Engagisme Réalisée par les services du Conseil Général, cette exposition,

« Fausses » tombes du cimetière, premier espace de mémoire réalisé pour marquer l’aspect sacré du lieu de mémoire.
placée dans l’ancienne gare du chemin de fer, s’est inscrite dans le lancement des travaux de restauration du Lazaret I. Elle permet de situer la Grande-Chaloupe dans son contexte historique et également dans son espace naturel. Elle constitue une très bonne introduction à une visite historique et de découverte de la faune et de la flore du site.
STATUT Installée dans l’ancienne gare du CFR.
ETAT DE CONSERVATION Correct

Fête du 15 août organisé par l’association Tamij Sangam (ici en 2005).

Habitat

BATIMENT / STRUCTURE Villages créoles La Grande-Chaloupe abrite 3 groupes d’habitations caractéristiques de l’habitat traditionnel réunionnais. Elle vient d’ailleurs de bénéficier de l’opération « Coup de pinceau » visant à revaloriser l’habitat créole. L’installation des habitants dans le quartier (1950-1960) s’insère dans le contexte de la départementalisation et du passage à la modernité (rupture progressive de l’île avec le mode de vie du XIX e siècle).

De très fortes mutations bouleversent alors La Réunion : aménagement des routes, construction de nouveaux types d’habitats (Chaudron au début des années 60), d’écoles, premiers travaux de la route en Corniche (1950-64). Le village, installé dans un éco-système riche, à proximité de l’océan permet de conserver un mode de vie « traditionnel » ou le quotidien est complété par une agriculture de subsistance, par la chasse ou la pêche tout en permettant de bénéficier de la plus grande partie des avantages de La Réunion du XXI e siècle : voiture, téléphone portable, etc. L’aménagement de la zone d’habitat est intimement lié à ce mode de vie, combinant tradition et modernité. A noter ici, le rôle joué par la construction de la route digue par la DDE qui, outre de protéger les bâtiments du Lazaret I des crues joue un rôle essentiel en termes de désenclavement, permettant notamment aux médecins d’accéder au village en cas de nécessité.*
STATUT Périmètre d’un site protégé.
ETAT DE CONSERVATION Correct, entretenu et repeint régulièrement.
REMARQUES Nouvelle opération « Coup de pinceau » en préparation.

Le chemin dit "des Anglais" côté Possession.
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